This short documentary follows the journey of journalist Gyanu Sharma in Nepal, who understands that having access to data can help him create a better future for his son. He is one of a growing number of citizens and civil society groups globally who have a hunger for data because they understand its powerful potential for change.
Practitioners from around the world will be sharing their lessons learned and best practices in implementing Open Data Initiatives. Join us to learn from other countries’ experiences and see how they’ve resolved challenges, and hear about what help they still need.
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Des praticiens venus des quatre coins du monde, nous ferons part des enseignements qu’ils ont tirés dans le domaine de la mise en œuvre des initiatives relatives aux données ouvertes ainsi que des pratiques exemplaires en la matière. Venez découvrir, en notre compagnie, les expériences réalisées par d’autres pays, comprendre comment ils ont relevé les défis auxquels ils faisaient face et en apprendre davantage sur l’aide dont ils ont encore besoin.
A practical workshop influenced by the experiences of various Government agencies and community groups at various levels of maturity. Collecting experiences from attendees to open up a broad discussion, we'll focus on best practices for data publishing and data use to create a reference document that can be used beyond the IODC.
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Cet atelier pratique s’appuie sur l’expérience de divers organismes gouvernementaux et groupes communautaires à divers niveaux de maturité. Nous recueillerons les expériences des participants afin de lancer une vaste discussion et mettrons l’accent sur les pratiques exemplaires aux fins de la publication et de l’utilisation de données pour créer un document de référence qui pourra être utilisé au‑delà de la CIDO.
Panel co-organized by The GovLab (NYU) and Canada’s International Development Research Centre (IDRC)
The 2.5 quintillion bytes of data now being created on a daily basis — equivalent to a "new Google every four days" — represent an untapped potential for society. If used responsibly, the increased datafication of society may hold the key to helping address some of our most crucial social, economic, and political challenges. Yet much of the richest, most valuable data for helping tackle public problems lies in private hands. It is crucial to start focusing on how private companies and nonprofit organizations can create data collaboratives and open and share their data — including Web clicks, sensor data, online purchases, and research results — in a variety of ways with those those who are trying to tackle our most pressing public challenges.
While this next generation of "open data" is slowly emerging, key questions and persistent obstacles need to be considered. What sort of incentives lead businesses and nonprofits to decide to share their data assets? How can potential users of the data help allay concerns about privacy and competitive risks, and how should such users be chosen? What sorts of legal and technical frameworks — be they APIs, data pools, or research partnerships — are best suited to maximizing the public value of private data?
During this session, we will aim to take stock of current practices of data collaboration between private and public actors, explore the many "shades" of open data innovations, and how to ensure they are able to fulfill their potential to advance the public good in a responsible manner.
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Groupe d’experts organisé conjointement par The GovLab (NYU) et le Centre de recherches pour le développement international (CRDI) du Canada
Les 2,5 quintillions d’octets de données qui sont créés tous les jours, ce qui équivaut à un « nouveau Google tous les quatre jours », représentent un potentiel inexploité pour la société. Si on l’utilisait de façon responsable, l’accroissement de la mise en données de la société pourrait représenter l’élément clé pour aider à régler certains des problèmes sociaux, économiques et politiques les plus sérieux. Par contre, une grande partie des données les plus riches et les plus importantes qui permettraient d’aborder les problèmes dans le secteur public se trouvent dans le secteur privé. Il est essentiel de commencer à chercher divers moyens par lesquels les compagnies privées et les organisations sans but lucratif pourraient créer des collaborations de données en vue de rendre disponibles et d’échanger leurs données, ce qui comprend le nombre de clics en ligne, les données de détecteurs, les achats en ligne et les résultats de recherche, avec les organisations qui tentent de régler les problèmes les plus urgents du secteur public.
Même si cette nouvelle génération de « données ouvertes » émerge lentement, il faut considérer les questions clés et les obstacles qui persistent. Quels types de mesures incitatives mènent les compagnies et les organisations sans but lucratif à échanger leurs données? Comment les utilisateurs potentiels des données peuvent‑ils aider à atténuer les préoccupations au regard de la protection des renseignements personnels et des risques de concurrence, et comment les utilisateurs des données devraient‑ils être sélectionnés? Quels cadres juridiques et techniques, qu’il s’agisse d’API, de bassins de données ou de partenariats de recherche, conviennent mieux afin d’augmenter au maximum pour le secteur public la valeur des données du secteur privé?
Au cours de cette séance, nous examinerons les pratiques actuelles d’échange de données entre les secteurs public et privé, nous étudierons les nombreuses « nuances » des innovations liées aux données ouvertes, et nous considérerons des moyens pour exploiter au maximum le potentiel des données afin de faire progresser le bien public de façon responsable.
Participate in Canada’s national dialogue on how to set priorities for releasing federal government open data.
This 60 minute interactive session will present a draft approach to prioritizing the release of the Government of Canada’s open data. The majority of the time will be spent in conversation on the following topics:
Au-delà d’une communauté de langue, la Francophonie qui rassemble 300 millions de personnes, est un espace de coopération, d'échanges, de rencontres. Pour se comprendre, pour échanger, pour coopérer, pour travailler avec les sociétés civiles, pour ouvrir de larges zones de confiance et de transparence, il faut un vocabulaire partagé, mais aussi des référentiels communs, des formats comparables…
L'open data permet de mettre à disposition des citoyens, des entreprises, mais aussi des administrations elles-mêmes de nouveaux savoirs et de nouvelles ressources, utiles à la démocratie, à l’économie, et à l’innovation.Cette session rassemblera représentants de la Francophonie - administrations, organisations de la société civile, innovateurs, start-ups - afin de partager leurs expériences en matière de données ouvertes et d’identifier de nouvelles aires de coopérations au sein de ces écosystèmes. La France partagera sa vision des données ouvertes sociales, déployée dans le portail data.gouv.fr, qui a entre autres inspiré le Maroc. Le Canada offrira un aperçu du processus d’implémentation des données ouvertes dans un contexte bilingue, et le développement des outils et des ressources reconnu partout au monde. Le lancement en juin 2014 du portail data.gov.bf et du projet « Nos Ecoles, Nos Données » par le Burkina Faso inspirera les pays débutant tout juste leurs politiques d’ouverture des données. La startup française OpenDataSoft expliquera comment outiller les projets basés sur les données ouvertes en prenant en compte les contextes locaux. L’association Open Knowledge France diffusera ses techniques pédagogiques d’exploration des données, telles que mises en œuvre dans ses ateliers “Ecole des données”.
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Beyond a community of language, the Francophonie, which is made up of 300 million French-speakers and “francophiles”, is a space of shared culture, exchanges, common references, mutual understanding, and cooperation. Open data itself could be one of these shared tools, giving citizens, organizations, businesses, and government agencies themselves access to resources that can benefit democracies, economies, and innovation. This session will bring together country representatives, government members, civil society organizations, innovators, and startups of the Francophonie to share experience and best practices in open data, and to identify potential areas of collaboration within their ecosystems. This session will include presentations and interactive kiosks. France will share its vision of social open data embedded in the data.gouv.fr portal, which has inspired Morocco among others. Canada will provide insights on the implementation of open data commitments in a bilingual environment, building tools and resources that have been recognized worldwide. The launch in June 2014 of data.gov.bf and of the « Nos Ecoles, Nos Données » project by Burkina Faso may inspire countries starting implementing open data policies. France-based startup OpenDataSoft will explain how to better equip open data projects to adapt to local contexts. The civil society organization Open Knowledge France will share its open data education methods, refined in its “Ecole des données” workshops.
This panel session will be a constructive take on current civic tech initiatives, such as Poplus and the Code for All programs to help government officials and civic technology infomediaries design meaningful initiatives to make a lasting difference in their communities. With the united vision that technology can open up and innovate policy implementation and public service delivery, variations of civic technology programs have been adapted to many different local contexts. A year later, much was learned about organizing open data communities and what it takes to build tools that solve real world problems. Examples on how civic technology communities collaborated with different stakeholders including government, civil society, and the media to gain access to relevant data will be showcased. Current and future challenges will be discussed with the hope that our learnings will make future projects not only easier to start and scale, but also more effective.
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La réunion d’experts aura pour but de tenir un dialogue constructif au sujet des initiatives sur les technologies civiques actuelles, comme Poplus et les programmes du réseau « Code for All », afin d’aider les représentants du gouvernement et les infomédiaires en matière de technologies civiques à créer des initiatives importantes permettant d’apporter des améliorations durables au sein de leurs collectivités. En raison de la vision commune selon laquelle la technologie peut dégager et faire innover la mise en œuvre des politiques et la prestation des services publics, divers programmes de technologies civiques ont été adaptés à bon nombre de contextes locaux différents. Un an plus tard, l’on en a appris beaucoup sur l’organisation des collectivités de données ouvertes et les éléments requis pour concevoir des outils qui permettent de résoudre des problèmes réels. Lors de la réunion, on mettra en lumière des exemples de la façon dont les collectivités de technologies civiques ont collaboré avec différents intervenants, notamment le gouvernement, la société civile et les médias, pour avoir accès à des données pertinentes. On discutera également des défis actuels et futurs, en espérant que les leçons apprises contribueront à faire en sorte que les projets à venir soient à la fois plus faciles à amorcer et à évaluer, et que ces projets soient plus efficaces.
The session will explore Canada’s digital diplomacy experience with open data for public participation. Since 2014, Canada’s Department of Foreign Affairs, Trade and Development has been using digital diplomacy in support of its efforts to strengthen democracy and build prosperity. This has generated massive amounts of open/social data, consisting of interactions between Canadian diplomatic feeds, citizens and civil society, both overseas and Canada. The multi-disciplinary panel will use data analysis and visualizations and feature a first-hand account from a Canadian Ambassador to kick start, what we hope will be, an engaging conversation about open data for public participation.
This session feature developing countries sharing their experiences in launching Open Data initiatives. Through an ongoing co-creation effort, The World Bank has developed a methodology for Open Data Readiness Assessments (ODRA) which allows countries to develop a roadmap for their open data programs. The session, facilitated by leading Open Data practitioners, features Open Data leaders from developing countries sharing their successes and challenges around planning, launching and early implementation of Open Data initiatives. The session will feature lightning talks on open data from countries including: Uganda, Rwanda, Burkina Faso, Kyrgyzstan, Kazakhstan, Tajikistan, and Serbia