Panel co-organized by The GovLab (NYU) and Canada’s International Development Research Centre (IDRC)
The 2.5 quintillion bytes of data now being created on a daily basis — equivalent to a "new Google every four days" — represent an untapped potential for society. If used responsibly, the increased datafication of society may hold the key to helping address some of our most crucial social, economic, and political challenges. Yet much of the richest, most valuable data for helping tackle public problems lies in private hands. It is crucial to start focusing on how private companies and nonprofit organizations can create data collaboratives and open and share their data — including Web clicks, sensor data, online purchases, and research results — in a variety of ways with those those who are trying to tackle our most pressing public challenges.
While this next generation of "open data" is slowly emerging, key questions and persistent obstacles need to be considered. What sort of incentives lead businesses and nonprofits to decide to share their data assets? How can potential users of the data help allay concerns about privacy and competitive risks, and how should such users be chosen? What sorts of legal and technical frameworks — be they APIs, data pools, or research partnerships — are best suited to maximizing the public value of private data?
During this session, we will aim to take stock of current practices of data collaboration between private and public actors, explore the many "shades" of open data innovations, and how to ensure they are able to fulfill their potential to advance the public good in a responsible manner.
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Groupe d’experts organisé conjointement par The GovLab (NYU) et le Centre de recherches pour le développement international (CRDI) du Canada
Les 2,5 quintillions d’octets de données qui sont créés tous les jours, ce qui équivaut à un « nouveau Google tous les quatre jours », représentent un potentiel inexploité pour la société. Si on l’utilisait de façon responsable, l’accroissement de la mise en données de la société pourrait représenter l’élément clé pour aider à régler certains des problèmes sociaux, économiques et politiques les plus sérieux. Par contre, une grande partie des données les plus riches et les plus importantes qui permettraient d’aborder les problèmes dans le secteur public se trouvent dans le secteur privé. Il est essentiel de commencer à chercher divers moyens par lesquels les compagnies privées et les organisations sans but lucratif pourraient créer des collaborations de données en vue de rendre disponibles et d’échanger leurs données, ce qui comprend le nombre de clics en ligne, les données de détecteurs, les achats en ligne et les résultats de recherche, avec les organisations qui tentent de régler les problèmes les plus urgents du secteur public.
Même si cette nouvelle génération de « données ouvertes » émerge lentement, il faut considérer les questions clés et les obstacles qui persistent. Quels types de mesures incitatives mènent les compagnies et les organisations sans but lucratif à échanger leurs données? Comment les utilisateurs potentiels des données peuvent‑ils aider à atténuer les préoccupations au regard de la protection des renseignements personnels et des risques de concurrence, et comment les utilisateurs des données devraient‑ils être sélectionnés? Quels cadres juridiques et techniques, qu’il s’agisse d’API, de bassins de données ou de partenariats de recherche, conviennent mieux afin d’augmenter au maximum pour le secteur public la valeur des données du secteur privé?
Au cours de cette séance, nous examinerons les pratiques actuelles d’échange de données entre les secteurs public et privé, nous étudierons les nombreuses « nuances » des innovations liées aux données ouvertes, et nous considérerons des moyens pour exploiter au maximum le potentiel des données afin de faire progresser le bien public de façon responsable.